6 août 2011
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01:20
Si ces chiens me braillent dessus, quand je regarde les vitrines,
que ma mélancolie se pousse un instant pour laisser mes yeux se pencher,
aire des géants comme je croyais l'être, on peut dire que je me suis fourré le doigt dans les côtes,
vitrine bien décorées, jouets et poupées me jettent un dernier coup d'oeil,
consommation, infiltration, concentration, pensions,
des gens étranges, marchant en ronchonnant,
qui ne connaissent pas mon petit nom,
sortant de tout les recoins,
on parle d'un univers en expansion, j'ai entendu,
Non merci.